traite des êtres humains

Dix ans de prison pour traite d’êtres humains

couloir sombre
© Thierry Porchet / Photo prétexte

L’employeur engageait des travailleurs de Hongrie, de Roumanie, de Moldavie ou encore de Bulgarie, payés entre 4 et 5 francs de l’heure. Ces derniers vivaient dans un climat de peur. Unia a dénoncé ces cas d’esclavage moderne.

Un patron actif dans la plâtrerie employait des travailleurs des pays de l’Est payés quelques francs l’heure. Pour Unia, il est urgent de renforcer les mesures existantes pour lutter contre cette criminalité sur les chantiers