Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Pour un nouveau contrat-type de la vente en Valais

Unia demande au Canton d'améliorer les conditions de travail dans le commerce de détail et de revaloriser les salaires

Après le rejet de l’extension des heures d’ouverture des magasins en Valais le 3 mars dernier, Unia Valais demande, à travers une résolution, l’amélioration des conditions de travail du personnel de vente à travers la refonte du contrat-type cantonal.

Les revendications portées devant l’Etat du Valais sont les suivantes: une revalorisation salariale en augmentant les salaires (salaire mensuel porté à 5000 francs pour le personnel avec CFC, à 4800 francs pour celui détenteur d’un AFP et à 4500 francs pour le personnel sans qualification), ainsi que l’introduction d’un 13e salaire; une diminution du temps de travail (42h par semaine pauses comprises); l’octroi de cinq semaines de vacances au minimum et six à partir de 50 ans; l’octroi d’un congé le samedi une fois par mois au moins et, enfin, la communication de l’horaire hebdomadaire trois semaines à l’avance. 

«Par ailleurs, le contrat-type doit être de force obligatoire, sans dérogation possible et le personnel occupé dans les zones touristiques doit également pouvoir bénéficier de la totalité de son contenu», souligne la résolution, adoptée lors de l’assemblée des délégués de la région Unia Valais le 27 avril dernier. 

Pour aller plus loin

Le personnel d’OVS exige de la reconnaissance

Portant des masques à l’effigie du directeur général d’OVS, les vendeuses de la succursale de Fribourg ont fustigé un patron «arrogant», qui ne les saluait pas lorsqu’il passait au magasin. Elles ont aussi profité de leur action pour remercier les clients de l’enseigne.

Les salariés soutenus par Unia ont fait part de leurs revendications à court et moyen terme à leur direction. Des actions simultanées sont prévues dans les boutiques du pays

De nouveaux chauffeurs Uber se rebiffent

Des secrétaires syndicaux et des chauffeurs discutent

Soutenus par Unia, des employés d’une société vaudoise partenaire du géant étasunien ont débrayé la semaine dernière

Pour des conditions de travail décentes chez les sous-traitants de Zalando

La délégation d’Unia a remis à la direction une pétition réclamant un salaire minimum d’au moins 22 francs de l’heure, contre environ 19 francs pratiqués actuellement.

Unia a adressé une pétition de plus de 2000 signatures à la direction du géant de l’e-commerce pour dénoncer le dumping social et salarial en Suisse

Les employés des shops tessinois discriminés

Le 5 juin dernier, une délégation d’Unia a interpellé les parlementaires à l’entrée du Palais fédéral.

Les shops des stations-service du Tessin n’ont pas à appliquer le salaire minimum de la CCT. Une exception décidée par le Conseil fédéral. Unia dénonce