Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

De petits dons contre les gros moyens des promoteurs de la baisse des rentes

Les représentants de l’alliance «Non aux baisses des rentes LPP» avaient déposé l'été dernier presque trois fois plus de signatures que nécessaire à la Chancellerie fédérale à Berne.
© Lucas Dubuis

Les représentants de l’alliance «Non aux baisses des rentes LPP» avaient déposé l'été dernier presque trois fois plus de signatures que nécessaire à la Chancellerie fédérale à Berne.

Mardi 13 août, le Contrôle fédéral des finances (CDF) a publié les budgets de campagne pour les votations du 22 septembre, qui montrent que les assurances, les employeurs et les milieux économiques consacreront 3,45 millions de francs à tenter de faire passer la réforme du 2e pilier. Pour sa part, le comité référendaire a pu rassembler 200000 francs de dons. La valeur moyenne des dons est de 54 francs, informe l’Union syndicale suisse. La faîtière et ses syndicats membres contribueront pour 400000 francs à la campagne du comité référendaire. Avec les autres dons possibles, le budget total de celle-ci se montera à environ 700000 francs. S’ajoutent à ce montant, les dépenses d’autres organisations opposées au projet LPP21. Le Parti socialiste va ainsi engager 700000 francs et Unia 96000 francs. 


Pour verser un don au comité référendaire, c’est par ici

Pour aller plus loin

Jura: Un collectif d’indignés au chevet de la santé

Exaspérés par les hausses brutales des primes maladie, l’opacité de la LAMal et l’apathie des politiques, une quarantaine de citoyens jurassiens ont créé un groupe de pression qui a pour objectif principal d’instaurer à terme une «véritable assurance santé»

«Une bouffée d’air frais»

Dans une crèche.

Unia salue la baisse importante des cotisations des travailleuses et des travailleurs au financement des allocations familiales en Valais

Les patrons pourraient aider à payer les primes

Une participation financière des employeurs à l’assurance maladie est envisageable, un tel dispositif existe déjà dans certaines conventions collectives de travail

Deuxième pilier: taux d’intérêt minimal insuffisant

Alors que le taux actuel est déjà très bas, le Conseil fédéral doit remonter plus fortement le taux d’intérêt minimal afin qu’il profite aux assurés, plaide l’USS