Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Pas un jour sans qu’une catastrophe se produise dans le monde. Cette terre où nous vivons est en souffrance, atteinte par le productivisme débridé et sans fin. L’humanité et le monde des vivants sont à la peine.

De trépidations en trépidations, le mal s’accroît: par des canicules à répétitions, par des extinctions de masse, par des océans saturés de plastique, par la destruction des poumons verts que sont les forêts primaires. La liste s’arrêtee là mais elle est loin d’être terminée.

Nous avons besoin d’une planète où il fait bon vivre pour toutes les espèces. Notre oxygène est vital, notre eau doit être buvable.

L’économie de marché, connaît nos besoins pour mieux les exploiter. Le dieu marché a colonisé les esprits. Les lois du marché ne connaissent pas d’autres lois que celles de la concurrence et du profit.

Le marché, est devenu un dogme religieux, où il n’y a pas d’autre alternative. Tout se joue dans les bourses, cela montre l’opacité du fonctionnement des marchés financiers qui sont devenus des casinos à l’échelle planétaire.

De cela, on pourrait croire que nos vies, sont devenues des variables d’ajustement structurelles. Ainsi il est facile de penser que le monde économique joue à la roulette russe avec la nature et nos vies.

Cela doit changer, pendant qu’il est encore temps. Mais de temps nous n’en n’avons plus beaucoup. Il ne faut pas se résigner face à l’adversité. L’humanité dans son histoire a dû faire face à de nombreux périls qu’elle a pu surmonter.

La lutte pour une cause juste entretient l’espoir d’un changement bénéfique pour tous.

Thierry Cortat, membre du comité régional d'Unia Transjurane, Delémont

 

Pour aller plus loin

Syngenta: stop aux pesticides extrêmement dangereux!

remise de pétition

Jeudi dernier à Bâle, Public Eye a remis à Roman Mazzotta, directeur de Syngenta Suisse, une pétition contresignée par près de 38000 personnes, devant des portraits de militants...

Changer nos habitudes pour sauver la planète

Un tracteur dans un champ.

Dans son dernier rapport, le GIEC donne des pistes sur de nouvelles façons de produire et de consommer afin de ralentir le réchauffement climatique. «Chaque action compte», selon son vice-président

Pas de planète B

Greta Thunberg et Jacques Dubochet lors du rassemblement autour de la cause climatique à Lausanne.

Quelque 450 grévistes du climat provenant de 38 pays se sont réunis durant une semaine à Lausanne pour définir leur stratégie future. Parole à des militants et point de vue scientifique

«Nous utilisons l’atmosphère comme une poubelle»

Manifestation à Lausanne.

De nombreux spécialistes ont participé à la rencontre, dont le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, ancien président du GIEC