L’Europe sociale à Dorigny
L’Europe sociale sera au cœur du prochain «Dialogue européen» de la Fondation Jean Monnet à Dorigny qui aura lieu le mardi 4 février sur le campus lausannois.
Cette année, Per Hilmersson, secrétaire général adjoint de la Confédération européenne des syndicats (CES) sera présent pour parler, entre autres, des visions syndicales et de l’agenda de la CES pour une Europe sociale. La rencontre est ouverte non seulement aux étudiants de l’Université de Lausanne mais également à toute personne intéressée. Elle permettra aussi d’aborder des problématiques touchant directement la Suisse, notamment les questions de la libre circulation, de l’accord-cadre institutionnel ou encore de la défense des mesures d’accompagnement.
Après une présentation de Per Hilmersson, la discussion se mènera avec le public. La modération du dialogue sera effectuée par Pat Cox, président de la Fondation Jean Monnet et ancien président du Parlement européen.
La Fondation Jean Monnet pour l’Europe a été créée en 1978 par celui qui a été le concepteur de la première Communauté européenne. Elle est indépendante, à vocation scientifique, non partisane et non militante, indique-t-elle sur son site internet. Installée à la Ferme de Dorigny, elle offre aux chercheurs des ressources documentaires et organise régulièrement des conférences, des débats ou des colloques.
Dialogue Europe sociale, mardi 4 février de 16h45 à 18h45, Université de Lausanne, campus de Dorigny, Internef, salle 263. Un verre de bienvenue sera servi dès 16h15. Traduction simultanée français-anglais.
A la suite de la Norvège, plusieurs équipes nationales ont dénoncé les conditions de travail scandaleuses régnant sur les chantiers de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar
Depuis quelques années, les travailleurs employés par la société pharmaceutique suisse Novartis en Inde subissent des violations de leurs droits alors que la direction locale...
La pandémie a mis en lumière les injustices profondes dans l’industrie textile. Les femmes constituent le 80% de la main d’œuvre et cumulent les inégalités. Il suffirait de prélever 10 centimes par t-shirt vendu pour que ces ouvrières touchent un revenu décent. Une pétition est lancée
Alors qu’un triple fléau frappe la population – la pandémie, le retour de la faim et un président «génocidaire» –, le Mouvement des sans-terre distribue des centaines de tonnes d’aliments dans les quartiers pauvres