Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Pollution plastique: compromis décevant

Les négociations sur la pollution plastique se sont achevées sur un bilan mitigé fin avril à Ottawa, au Canada. La 4e session du comité intergouvernemental de négociation (CIN-4) pour un traité international sur ce sujet a accouché d’un compromis jugé décevant, car il élude la question d’une réduction de la production de plastique. Greenpeace Suisse déplore le fait que «les Etats écoutent davantage les lobbyistes de l’industrie pétrochimique que les scientifiques spécialistes de la santé», fustigeant au passage la Suisse qui a changé son fusil d’épaule lors de la dernière soirée de négociations. L’organisation souligne qu’il y a urgence à agir et que la crise du plastique ne pourra être résolue que si on cesse d’en produire autant. De nombreuses divisions demeurent toutefois à ce propos, alors que le délai fixé par les Nations Unies pour l’aboutissement de ce traité échoit en novembre.

Pour aller plus loin

La lenteur du Canton de Vaud pointée du doigt

Une trentaine d’organisations de la cause climatique ont remis une lettre et un sablier aux chefs de groupe du Grand Conseil leur demandant de mettre enfin en œuvre le Plan Climat.

Les trente organisations d’Objectif Climat demandent, une fois de plus, aux autorités vaudoises des actions et de la transparence.

Un projet climatique à Bangkok prend l’eau

La Suisse se veut bonne élève des Accords de Paris sur le climat, elle est l’un des premiers pays à avoir financé à l’étranger un projet de réduction des émissions de CO 2. Depuis...

Une campagne lancée sur les chapeaux de roues

manif

Deux manifestations simultanées à Lausanne et à Genève ont vu plus d’un millier d’opposants aux projets autoroutiers se mobiliser en vue des votations du 24 novembre.

Les ultrariches sommés de passer à la caisse au nom du climat

Banderoles devant le Palais fédéral à Berne

L’initiative pour l’avenir de la Jeunesse socialiste propose un impôt de 50% sur la part des successions dépassant les 50 millions de francs dans le but de financer une vraie politique climatique sociale.