Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Manifester pour la paix

Manifestation pour la paix à Neuchâtel.
© Thierry Porchet

Le 24 février 2022, le régime de Poutine attaquait l’Ukraine, en violation du droit international. Un an après, plusieurs dizaines de milliers de civils et de militaires ont été tués. Le peuple ukrainien est confronté à la brutalité et à la violence au quotidien: crimes de guerre, viols, exécutions extrajudiciaires, frappes meurtrières contre des infrastructures civiles et des lieux de refuge... Des millions de personnes civiles ont été contraintes de fuir à l’étranger ou dans d’autres régions. «Ce massacre ne prendra pas fin tant que les troupes russes occuperont une partie de l’Ukraine. Leur retrait est un préalable absolu à toute négociation de paix», partage Unia Neuchâtel pour le Comité neuchâtelois de solidarité avec le peuple ukrainien et les opposants russes, qui a exprimé son soutien lors d’un rassemblement devant la Fontaine de la Justice le 24 février (photo). De nombreuses autres démonstrations se sont tenues, le même jour, un peu partout en Suisse et dans le monde. Le 4 mars prochain, une nouvelle manifestation nationale pour la paix est organisée, dans le cadre d’une large coalition, par les associations ukrainiennes de Suisse, à Berne, au départ de la Schützenmatte à 14 heures. Le syndicat Unia soutient cette mobilisation et continue d’exiger «la fin des attaques et de tous les combats, ainsi que le retrait des troupes russes du territoire ukrainien».

Pour aller plus loin

Antisyndicalisme chez Novartis en Inde

Depuis quelques années, les travailleurs employés par la société pharmaceutique suisse Novartis en Inde subissent des violations de leurs droits alors que la direction locale...

Appel aux dons pour soutenir le Fonds de grève du Myanmar!

Dans un esprit de solidarité et de démocratie, l'Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois (IBB) et la Confédération des syndicats du Myanmar (CTUM) appellent à faire...

Les ouvrières du textile paient le prix fort

Usine textile au Cambodge.

La pandémie a mis en lumière les injustices profondes dans l’industrie textile. Les femmes constituent le 80% de la main d’œuvre et cumulent les inégalités. Il suffirait de prélever 10 centimes par t-shirt vendu pour que ces ouvrières touchent un revenu décent. Une pétition est lancée

Brésil: «Notre tâche est de sauver des vies»

Paniers de nourriture.

Alors qu’un triple fléau frappe la population – la pandémie, le retour de la faim et un président «génocidaire» –, le Mouvement des sans-terre distribue des centaines de tonnes d’aliments dans les quartiers pauvres