ferblanterie
A la suite de l’intervention d’Unia, la direction de l’entreprise genevoise s’est mise aux normes. Elle planche également sur des solutions de reclassement des employés à l’interne
Une entreprise active dans le second œuvre à Meyrin a licencié cinq de ses neuf employés. Certains ont plus de 50 ans. Les motifs économiques évoqués ne semblent pas tenir la route, tant le nombre de commandes est élevé. Soutenus par Unia, les travailleurs craignent une volonté de sous-traiter les travaux. Une réponse à leurs doléances devrait leur parvenir cette semaine