Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

EFAS

«Les promesses faites devront être respectées!»

Après la victoire d’EFAS dans les urnes, Unia appelle à une répartition des coûts socialement viable et équitable. Véronique Polito, vice-présidente d’Unia, répond à nos questions.

EFAS: Les prestations en EMS aux mains des caisses maladie

EFAS: pour une répartition des coûts socialement équitable

home

La réforme EFAS est le seul objet fédéral à avoir passé la rampe. Unia appelle urgemment à prendre des mesures pour alléger la charge des primes et financer le système de santé de manière socialement viable.

Non, les primes ne vont pas baisser avec EFAS

«Dans le domaine hospitalier et dans les soins de longue durée, les cantons vont se désinvestir et reporter les charges sur les caisses maladie. Ainsi, au lieu de favoriser le développement d’un système de santé efficient et de qualité, nous allons au contraire accélérer l’explosion des coûts pour les payeurs de primes, tout en mettant en danger la couverture de base en matière de soins», souligne Véronique Polito, vice-présidente d’Unia, inquiète face à ce report de charge.

Vice-présidente d’Unia, Véronique Polito met en garde: le financement uniforme des prestations est un «monstre bureaucratique» qui va accélérer l’explosion des primes maladie.

Le référendum contre EFAS est sous toit

Avec l’EFAS, les assurés ne risquent pas seulement de voir leurs primes augmenter, mais aussi leur participation aux coûts.

Le Syndicat des services publics (SSP) a déposé la semaine dernière 57000 signatures contre le Financement uniforme des prestations ambulatoires et stationnaires (EFAS). Adoptée...

«Voulons-nous vraiment confier 11 milliards d’impôts aux caisses maladie?»

Taillé sur mesure pour les assureurs, EFAS, le nouveau système de financement des hôpitaux et des EMS, est combattu par un référendum syndical

L’EFAS: une pseudo-réforme qui risque de faire beaucoup de dégâts

Avec l’EFAS, les assurés ne risquent pas seulement de voir leurs primes augmenter, mais aussi leur participation aux coûts.

Le projet de financement uniforme des soins ambulatoires et stationnaires équivaut à une privatisation partielle de l’assurance maladie de base. L’USS exige que cette révision soit stoppée. Explications