Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Michela Bovolenta et ses camarades distinguées

Michela Bovolenta prix Courrier
© Cédric Vincensini / Le Courrier

La syndicaliste Michela Bovolenta et le collectif «Grève des femmes» se sont vus décerner le 17 novembre dernier à Genève le Prix Courrier des droits humains. Depuis 1986, cette distinction honore tous les deux ans une personne représentant une association ou un groupe engagé pour un monde plus juste. Secrétaire centrale du Syndicat des services publics et coprésidente de la commission féminine de l’Union syndicale suisse, Michela Bovolenta est l’une des chevilles ouvrières de la grève générale prévue le 14 juin 2019 en Suisse en faveur de l’égalité salariale. «Je partage ce prix avec vous toutes, car ce n'est qu'ensemble que nous ferons cette grève féministe et des femmes», a déclaré peu après la lauréate sur les réseaux sociaux. Plus motivé que jamais, le collectif, rejoint par de nombreuses militantes de tous les cantons, vient d’ouvrir un site internet (grevefeministe2019.ch). Le Prix Courrier 2018 a été remis à l’occasion d’une soirée marquant les 150 ans du journal Le Courrier. Plus de 2000 personnes ont afflué à la salle communale de Plainpalais pour témoigner de leur attachement à ce quotidien progressiste.

Pour aller plus loin

Les rémunérations dans le nettoyage vont être revalorisées

nettoyage

La nouvelle convention collective de travail de la branche en Suisse romande prévoit une augmentation des salaires minimums et l’indexation automatique liée à l’inflation

Genève: Grève de la fonction publique reconduite

A Genève, le personnel de l’Etat et du secteur subventionné était convié à faire grève le 14 novembre dernier pour exiger une hausse de salaire supérieure au 1% accordé par le...

Vaud: Victoire d’étape avec une hausse de 1,9% des salaires

La fonction publique vaudoise, le CHUV et le secteur parapublic bénéficieront d’une augmentation des salaires de 1,7% dès le 1 er janvier 2024, à laquelle s’ajoute la hausse de 0,2...

Nouvelle embrouille à l'aéroport

Plus d’une trentaine de salariés ont participé le 7 novembre à une assemblée générale et à une conférence de presse donnée devant l’entrée de l’aéroport.

Des dizaines de salariés actifs sur le chantier du tri-bagages risquent à nouveau de faire les frais d’une politique de sous-traitance en cascade. Leur emploi est menacé par la résiliation du mandat d’une des sociétés italiennes à qui l’Aéroport de Genève avait confié une partie des travaux.