Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Pétition contre le pesticide Gaucho

En fin de semaine dernière, en Suisse romande, plus de 9000 personnes avaient déjà signé la pétition intitulée «Interdiction des néonicotinoïdes tueurs d’abeilles: pas de retour en arrière!» Lancée le 12 octobre par une apicultrice, un médecin et un pionnier de l’agriculture biologique, elle dénonce la tentative du lobby sucrier de réintroduire l’imidaclopride. Cette substance active du Gaucho est interdite depuis le 1er janvier 2019 en Suisse et dans l’Union européenne. Plus de 1200 recherches scientifiques ont prouvé sa dangerosité pour les insectes et les invertébrés, ainsi que pour la santé humaine et des sols.

Mi-septembre, la Fédération suisse des betteraviers demandait soit la réhomologation d’urgence de ce pesticide afin de sauver les cultures de betteraves sucrières attaquées par un puceron vecteur de la jaunisse, soit la fin des importations de sucre cultivé à l’aide de produits phytosanitaires interdits en Suisse. Dans un rapport publié en octobre, l’entreprise Sucre Suisse décrit une grande disparité entre l’ouest, touché fortement par la jaunisse, et «des rendements très élevés» à l’est du pays.

Signer la pétition sur: change.org

Pour aller plus loin

La poussière de LafargeHolcim intoxique le monde

Femme dans le village d'Ewekoro.

Le cimentier est cloué au pilori par des ONG et des syndicats pour ses violations répétées des droits humains et environnementaux

Relancer la Grève pour l’avenir

La Grève pour l’avenir, démarrée par la Grève du climat et rejointe par des associations, des syndicats et des mouvements féministes, organise une soirée de discussion et de...

Protection du climat: la Cour européenne saisie

Voilier de Greenpeace.

Déboutées par le Tribunal fédéral en mai dernier, les Aînées pour la protection du climat ont saisi la Cour européenne des droits de l’homme et mené une semaine d’action à Bâle

L’activiste pour le climat a été acquitté

L'activiste acquitté devant le palais de justice.

La justice genevoise a reconnu l’état de nécessité poussant Nicolas à participer à l’action «mains rouges» contre Credit Suisse. Le jeune et son avocate se sentent soulagés et enfin écoutés