Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Lonza: augmentation générale de 30 francs par mois

«Nous sommes contents du résultat des négociations. Celui-ci a aussi été validé par nos membres.» Au terme «d’intensifs et constructifs» pourparlers, Martin Dremelj, secrétaire syndical à Unia, estime positive l’issue des discussions relatives au renouvellement de la Convention collective de travail (CCT) signée avec Lonza. Ces dernières, échelonnées sur trois jours et qui se sont terminées le 5 février dernier, portaient sur la révision des salaires. Les partenaires sociaux réunissant des représentants d’Unia, de Syna et de la direction ont trouvé l’accord suivant: les 1300 travailleurs actifs dans la production de l’entreprise basée à Viège toucheront, dès le 1er avril prochain, 30 francs de plus par mois. Une hausse répercutée aussi sur le treizième salaire. «Cette majoration générale est très importante. Nous sommes d’autant plus satisfaits que, en 2020, il n’y a pas eu de renchérissement du coût de la vie (-0,7%) contrairement en 2019 où il s’est élevé à 0,4%.» Lonza a en outre décidé d’augmenter la masse salariale globale de 0,8%. Ce montant sera alors réparti à titre individuel. 

Pour aller plus loin

Un plan social insuffisant

La blanchisserie Elis a mis un terme aux négociations avec Unia. Le plan social ne profitera qu’à une minorité des 35 personnes licenciées

Fribourg: «C’est tout de suite qu’il faut agir»

La lutte pour que les mesures sanitaires soient respectées dans l’industrie du canton porte ses fruits, en particulier dans les grandes entreprises

Débrayage utile chez Canplast

Une partie du personnel de la production a débrayé vendredi dernier pour que les directives de sécurité exigées pour contrer le coronavirus soient respectées.

Une dizaine de salariés de la société installée à Villars-Ste-Croix ont cessé le travail vendredi face au non-respect des mesures de précaution nécessaires pour contrer le coronavirus

Les travailleurs de Tornos en RHT

Locaux de Tornos à Moutier.

A Moutier, la majorité des quelque 300 salariés du fabricant de machines-outils sont au chômage technique à mi-temps