Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Contre les violences sexistes et sexuelles

Manifestation à Lausanne avec un banderole "offensive féministe contre les violences sexistes".
© Olivier Vogelsang

Le 25 novembre, lors de la Journée internationale contre les violences sexistes et sexuelles, des actions ont eu lieu un peu partout en Suisse. A Lausanne, plusieurs centaines de personnes ont manifesté bruyamment au centre-ville. Des actions, des conférences, des ateliers, des tables rondes, des projections se sont déroulés également à Genève, à Fribourg, à Bienne, à La Chaux-de-Fonds, à Neuchâtel… Entre autres revendications, les collectifs féministes demandent la mise en place de politiques cantonales de prévention et d’éducation, la formation des corps de métier (justice, police, social, santé) en lien avec les victimes, des fonds pour les associations actives, un observatoire indépendant, ainsi que la prise en compte de l’absence de consentement comme élément décisif de la définition d’un viol. Elles appellent à une nouvelle manifestation nationale contre les féminicides le samedi 11 décembre à 14h, à Zurich. Depuis le début de l’année, en Suisse, 25 femmes ont été tuées par leur conjoint.

Pour aller plus loin

Le compte à rebours a commencé

Une septantaine de femmes rassemblées sur la place de la Riponne à Lausanne. A l'arrière une banderole géante sur laquelle on peut lire: "J-31 Préparons la Grève féministe et des femmes à la maison, au travail, à l'école, partout. Egalité, respect, solidarité."

Mardi 14 mai, des femmes se sont mobilisées un peu partout en Suisse à «J-31» jours de la Grève des femmes

«C’est un combat qui en vaut vraiment la peine»

Portrait de Maryelle Budry

Maryelle Budry, féministe genevoise de 76 ans, a participé à la Grève des femmes de 1991 et s’engage maintenant dans celle à venir. Entretien

Neuchâtel: le Grand Conseil soutient la grève des femmes

Le Grand Conseil neuchâtelois appelle la population à participer à la Grève des femmes. Constatant que «l’égalité n’est pas atteinte dans les faits» et que la précédente grève de...

«Criminaliser la grève, c’est le pompon!»

Des femmes mobilisées lors du cortège du 1er Mai 2019 à Bienne.

Responsable nationale à Unia pour la Grève des femmes, Corinne Schärer fait le point sur la mobilisation du 14 juin. Un engagement qualifié d’énorme, à la hauteur du ras-le-bol des participantes...