C’était le choc, la semaine dernière, pour le personnel des enseignes Esprit non franchisées. Les vendeuses et les vendeurs ont appris par mail, quelques jours avant Pâques, la faillite de leur employeur et la fin immédiate des activités. Portes closes. Affichettes sur la devanture. Des salariés dans le désarroi total. Une violence sans nom pour celles et ceux qui, chaque jour, se dévouaient à cette marque dans leur travail. Le syndicat Unia invite toutes les personnes concernées à le contacter afin d’être soutenues et de défendre leurs droits dans cette situation difficile.