Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Cipag: salariés fâchés

Une douzaine de salariés de Cipag se tiennent debout devant leur société.
© Neil Labrador

Les salariés de Cipag à Puidoux se fâchent. Le groupe Elcotherm SA, propriétaire de la société, les a menacés en début d’année d’un licenciement collectif si des solutions n’étaient pas trouvées pour relever le chiffre d’affaires de la société. Le 11 février, les représentants du personnel remettaient à la direction, au terme de la procédure de consultation, une série de propositions dans ce sens. 26 salariés sont actifs dans cette entreprise spécialisée dans le chauffage.

Vendredi passé, une délégation de la direction a rencontré les employés. Mais aucune réponse n’a été apportée à leurs propositions et à leurs préoccupations, si ce n’est que les lettres de congé allaient partir le jour même. Lundi, après un ultimatum donné par le personnel pour obtenir une réponse écrite, la direction annonçait vouloir négocier un plan social, dont personne ne connaît la teneur, en Suisse alémanique. A l’heure où nous mettions sous presse, lundi après-midi, les salariés étaient toujours en attente de documents et d’une garantie que les discussions se dérouleraient à Puidoux. A suivre.

Pour aller plus loin

Non à la privatisation du nettoyage

Le Syndicat des services publics dénonce la privatisation du secteur du nettoyage sur un site de l’Hôpital fribourgeois et le dumping salarial qui menace

Nyon: L’ouverture des commerces dans les urnes

Manifestation à Nyon le 14 juin 2019.

La population nyonnaise décidera le 22 septembre des conditions de travail du personnel de la vente

Des ex-employées de Heidi.com demandent justice

Trois anciennes employées de la marque de vêtements neuchâteloise Heidi.com demandent justice à la suite de leur licenciement, qu’elles estiment abusif. S’ajoute une quatrième ex...

Uber: la tension monte à Genève

Téléphone ouvert sur une application de livraison de repas. A l'arrière-plan un livreur à vélo.

Alors qu’une pétition exige la reconnaissance du statut d’indépendant des chauffeurs, Uber Eats se voit accorder le droit de poursuivre ses activités, «en toute illégalité», selon Unia. L’Etat reste intransigeant