Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Afghanistan: "La Suisse peut et doit agir"

Remise de la pétition devant le Palais fédéral.
© Amnesty International

Jeudi 23 septembre, Amnesty International, soutenue par treize organisations de la société civile, a remis sa pétition au Conseil fédéral demandant d’accueillir immédiatement, par des voies sûres, des Afghans menacés. «Qu'il s'agisse d'universitaires, de journalistes, de membres de minorités ethniques ou religieuses, de femmes ou de personnes ayant travaillé pour l’ancien gouvernement ou des gouvernements étrangers, des milliers d’Afghans et d’Afghanes risquent les représailles des talibans», rappelle Alexandra Karle, directrice d’Amnesty International Suisse, dans un communiqué. L’ONG, tout comme les juristes indépendants, le Parti socialiste (auteur d’une autre pétition*) ou les Eglises réformées, souligne que la Suisse ne doit pas se contenter de financer de l’aide humanitaire sur place; mais aussi accueillir davantage de réfugiés. Jusqu’à présent, la Suisse n’a évacué que ses ressortissants et ses employés locaux avec leur famille proche.

*Signer la pétition sur: appel-pour-afghanistan.ch

Pour aller plus loin

«Le Conseil fédéral doit agir»

Manifestation à Berne.

Amnesty International et l’Alliance «Evacuer maintenant» ont lancé un nouvel appel en faveur de l’accueil de réfugiés végétant dans des camps sur les îles grecques. Plusieurs villes, communes et paroisses ont offert leur soutien

«Les patrons comprennent mal ce qu’est l’admission provisoire»

Portrait d'Hossein Rezai.

Aujourd’hui, les requérants d’asile se voyant attribuer un permis F sont plus nombreux que ceux à qui l’on accorde l’asile, et proviennent de régions où les conflits s’éternisent

Une carte citoyenne à l’étude

L’exécutif de La Chaux-de-Fonds va étudier la possibilité d’une carte citoyenne pour tous les habitants y compris les personnes sans papiers

«La droite va cibler les étrangers et les sans-papiers»

A la suite d’une multiplicité de contrôles d’identité de sans-papiers à Genève, le débat se politise