La caisse de chômage Unia reconnue pour son excellence
Elle est la seule caisse de chômage en Suisse à avoir obtenu la certification EFQM, mondialement reconnue, pour ses prestations, son développement et son efficacité
La caisse de chômage Unia est non seulement la plus grande caisse de Suisse, mais c’est aussi la première et la seule à obtenir le certificat EFQM Recognised by EFQM, qui est attribué par la Swiss Association of Quality et reconnu dans le monde entier.
De quoi s’agit-il? Dans les grandes lignes, le modèle EFQM est un cadre de gestion qui assiste les entreprises et les organisations visant à s’approcher d’un idéal d’excellence. Il est sans cesse réactualisé en fonction des «meilleures pratiques» des organisations certifiées. L’application du modèle aide les entreprises à améliorer la qualité de leurs prestations et à se développer en permanence.
La caisse de chômage Unia a posé sa candidature pour la première fois en 2019 pour obtenir le certificat Committed to Excellence, dont la durée de validité était de deux ans. A l’occasion du renouvellement de la certification, elle a opté pour le niveau de certification supérieur, à savoir Recognised by EFQM. Pour cela, elle a dû réaliser une auto-évaluation critique détaillée et a ensuite été examinée de près par deux intervenants externes.
«Nous sommes maintenant très heureux d’avoir obtenu, en avril 2022, le niveau de reconnaissance Recognised by EFQM, réagit la caisse de chômage Unia dans un communiqué de presse. Cela nous encourage à poursuivre sur la voie de l’amélioration permanente.»
Elle se dit encore «consciente de sa responsabilité envers ses assurés ainsi qu’envers l’Etat et la société» et s’efforce de se développer au-delà des directives étatiques «afin de fournir ses prestations de manière aussi professionnelle et efficace que possible».
L’assemblée des délégués, réunie le 7 décembre à Berne, a adopté un manifeste en faveur de la libre-circulation des personnes, alors que les négociations avec l’Europe sur les Bilatérales III se terminent.
Une grève dans l'usine tunisienne du groupe suisse de chaussures Rieker a conduit à des licenciements et à l'arrestation d'employés et de syndicalistes. Au siège du groupe à Thayngen (SH), personne ne veut s'exprimer sur cette affaire.
L’assemblée des délégués a adopté plusieurs résolutions, dont une visant à stopper la dégradation des conditions de travail en Suisse.