Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

La réduction du temps de travail, on en parle?

Unia organise, à Berne le 26 octobre prochain, une journée de réflexion et d’ateliers sur la thématique de la baisse du temps de travail. Baptisée «Plus de temps pour vivre: réduire le temps de travail!», cette journée sera l’occasion de revenir sur les nouveaux chiffres suisses en matière de temps de travail, mais aussi d’ouvrir sur les luttes réussies d’autres pays, notamment l’Allemagne et la Belgique. Au programme, des interventions et des ateliers par branches pour réfléchir ensemble sur des pistes d’actions syndicales possibles. Unia rappelle qu’avec 42 heures de travail par semaine, les salariés à plein temps en Suisse sont ceux qui travaillent le plus en Europe, sans oublier les horaires discontinus, le travail du soir et du week-end, une flexibilisation accrue, ainsi que des temps de déplacement non payés. «Les journées de travail sont de plus en plus longues et nous avons de moins en moins de véritable temps libre», souligne le syndicat.

Tous les membres et employés d'Unia, ainsi que les personnes intéressées sont bienvenues. 

Une traduction simultanée sera assurée. Inscrivez-vous, c'est gratuit!

Samedi 26 octobre de 10h à 16h, suivi d’un apéro, au Progr, Speichergasse 4, 3011 Berne

Programme de la journée et inscription ici

Pour aller plus loin

La face cachée de l’apprentissage en Suisse

Quatre femmes posent devant un drapeau d'Unia

Alors que notre système de formation duale est souvent cité en modèle, une enquête d’Unia révèle que les apprentis souffrent de stress et d’épuisement, entre autres

Quand le patron abandonne son poste

Les employés de Carletti

Des employés d’une entreprise genevoise de plomberie sont restés sans nouvelles de leur patron pendant deux semaines, puis ils ont été licenciés sans être payés. Unia est sur le dossier

Travail forcé: davantage de victimes et des profits faramineux

Le travail forcé génère, dans l’économie privée, 236 milliards de dollars de bénéfices illégaux par an, soit, depuis sept ans, 37% de plus.

Le travail contraint dans le secteur privé a augmenté, selon une nouvelle étude internationale consacrée à la question

Le travail, bonheur pour les uns, fardeau pour les autres

Selon Paul Magnette, différents indicateurs comme la croissance des pathologies professionnelles (maux de dos ou de tête, dépressions, burn-out) expriment le désir d’autres formes de travail.

Quand la moitié de nos contemporains disent s’épanouir dans leur emploi, l’ouvrage «L’autre moitié du monde» relève qu’un salarié sur deux vit dans la souffrance