Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Le coup de gueule des agents du Panthéon porte ses fruits

Monument dédié aux morts célèbres à Paris, le Panthéon est resté fermé du 22 au 25 avril. Le personnel s’est mis en grève pendant quatre jours, après avoir exprimé son ras-le-bol pendant près d’un an sans être entendu. Il dénonçait les cadences infernales à la billetterie et à la boutique, ainsi que les maigres salaires payés pour nettoyer du matin au soir ce lieu qui accueille plus de 3000 visiteurs par jour, ayant vu sa fréquentation augmenter de 44% en trois ans. Autres sujets de mécontentement: la question du travail de nuit ou des heures supplémentaires non majorés, ainsi que des problèmes de sécurité pour le personnel et les visiteurs par manque d’investissements dans l’entretien et la mise en conformité du site. Selon la CGT, la grève a été suivie par 90% des agents du Panthéon. La CGT, le personnel et la direction ont signé un protocole de fin de grève, qui répond à l’ensemble (ou presque) des revendications en termes d’effectifs supplémentaires, de rémunération et de conditions de travail. 

Pour aller plus loin

Pour un service public de qualité!

Jeudi dernier, environ 900 employés de la fonction publique et des secteurs subventionnés genevois ont battu le pavé. Réunis à 17h à la place Neuve, ils sont ensuite montés en...

«Nous sommes déterminés à nous battre pour nos droits»

Quatre délégués à une table

A Genève, les porteurs de journaux d’Epsilon refusent de travailler au rabais. Soutenus par Unia, ils ont engagé une lutte pour améliorer leurs conditions de travail. Témoignages

Genève: la fonction publique se mobilise!

Réunies en assemblée générale le 8 novembre au Palladium à Genève, 200 personnes ont voté à l’unanimité une résolution appelant à la mobilisation le 15 novembre. Si le Conseil d...

Des salariés d’Hilcona brisent la loi du silence

Des travailleurs d’Hilcona ont protesté le 2 novembre dernier devant l’entreprise de manière anonyme, de peur des représailles...

Employés d’Hilcona à Orbe, des ouvriers et ouvrières ont surmonté la terreur qui règne dans l’entreprise et frappé à la porte d’Unia. Ils dénoncent l’exploitation et les pressions qu’ils subissent