Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Salaires des électriciens valaisans rehaussés

Bonne nouvelle pour les électriciens valaisans. Les partenaires sociaux de la branche ont trouvé un accord sur les augmentations salariales. Dès l’an prochain, les travailleurs du secteur gagneront 50 francs de plus par mois, soit une hausse de 30 centimes de l’heure. Les salaires minimums des installateurs-électriciens et des automaticiens avec CFC seront aussi relevés de 20 centimes de l’heure. Un résultat salué par Unia et les Syndicats chrétiens du Valais, partie prenante de la négociation. «Nous sommes très contents de cette issue. D’autant plus que, l’an dernier, nous avions déjà obtenu une majoration de 50 francs», relève Serge Aymon, responsable de l’artisanat valaisan pour Unia. Et le syndicaliste de souligner les «échanges de vue constructifs» entre les différents acteurs et un accord «à la hauteur de l’implication du personnel de la branche dans la bonne marche actuelle du secteur». 

Dans ce contexte, les syndicats espèrent que les autres corps de métier du domaine s’inspireront de cet arrangement, «comme ceux de la technique de bâtiment, de la construction métallique ou encore les carreleurs». 

L’accord trouvé profitera à 1286 salariés actifs dans cette branche en Valais.

Pour aller plus loin

Pour une revalorisation des métiers du second œuvre!

Une équipe d'Unia au contact de plaquistes sur un chantier.

A Genève, comme ailleurs en Suisse romande, Unia a lancé une vaste campagne sur les chantiers pour connaître les revendications principales des travailleurs du secteur en vue du renouvellement conventionnel

Valais: les ramoneurs mieux lotis

Signature de la CCT.

Les ramoneurs valaisans bénéficient désormais d’une convention collective de travail. Avec, entre autres améliorations, la possibilité d’une retraite anticipée à 62 ans. Une première suisse dans la branche

Ouverture du dialogue chez Geneux Dancet

Intervention d'Unia devant les locaux de Geneux Dancet.

A la suite de l’intervention d’Unia, la direction de l’entreprise genevoise s’est mise aux normes. Elle planche également sur des solutions de reclassement des employés à l’interne

Unia demande à Geneux Dancet de rendre des comptes

Travailleurs, bras croisés.

Une entreprise active dans le second œuvre à Meyrin a licencié cinq de ses neuf employés. Certains ont plus de 50 ans. Les motifs économiques évoqués ne semblent pas tenir la route, tant le nombre de commandes est élevé. Soutenus par Unia, les travailleurs craignent une volonté de sous-traiter les travaux. Une réponse à leurs doléances devrait leur parvenir cette semaine