Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Vendredi noir

"Magasin gratuit" à Neuchâtel.
© Thierry Porchet

Le 25 novembre, partout en Suisse et ailleurs, des manifestations ont marqué la Journée internationale contre les violences sexistes et sexuelles, qui tombait cette année sur le Black Friday. Un double vendredi noir en somme.

A Neuchâtel, des collectifs écologistes, féministes et anticapitalistes ont créé un espace de solidarité et de gratuité à la place des Halles pour sortir des logiques marchandes. Un Black Freeday féministe, durant lequel une marche silencieuse a rendu hommage aux victimes de violences liées au genre. Une convergence des luttes revendiquée pour «faire émerger un autre monde», rappelant que le capitalisme est fondé sur le système patriarcal et que cette croissance sans fin met en danger la planète et dégrade les conditions de travail de centaines de millions de travailleuses et de travailleurs dans le monde.

Pour aller plus loin

Le post-confinement à l’heure du traçage numérique

Smartphone.

La loi sur l’application de traçage sera débattue au Parlement début juin. Entre avantages sanitaires et risques de dérives, des garde-fous sont nécessaires

«La communication sans jugement commence avec soi-même»

Le médiateur et coach Gabriel Delaunoy, avec quelques-uns des participants.

Movendo, l’institut de formation des syndicats, propose régulièrement des cours de communication non violente. Une appellation pas toujours bien comprise. Et qui a pourtant le pouvoir de changer la vie

Les violences domestiques pourraient exploser en Suisse

Evier avec des traces de sang.

Les associations féministes demandent que des lieux d’accueil d’urgence soient ouverts, en respect des consignes de l’Office fédéral de la santé publique. La Confédération assure que les cantons sont opérationnels

Des militants affichent leur volonté d’en finir avec la pub

Panneau publicitaire.

En phase de création, un comité d’initiative réclame l’interdiction de la publicité commerciale dans les rues vaudoises. Entretien avec Danaé Pérez, partie prenante de la démarche