restructuration
En un peu plus d’un an, la CGT a recensé plus de 180 plans de licenciements, menaçant 150000 emplois. Aux quatre coins de l’Hexagone, des grandes entreprises du secteur de l...
Quelque 500 salariés ont demandé à la direction de l’aciérie de Stahl Gerlafingen de faire marche arrière sur les licenciements annoncés. Une nouvelle mobilisation est prévue le 9 novembre.
Les fermetures et les restructurations d’usines se sont multipliées cette année. Parmi d’autres, Unia estime que l’Etat doit aider ce secteur, comme le font les Etats-Unis et l’Union européenne.
Après l’annonce de la restructuration de la multinationale qui pourrait supprimer jusqu’à 120 emplois dans le canton de Vaud, les salariés s’apprêtent à élire leur représentation du personnel, avec le soutien d’Unia.
Alors que le centre d’impression doit fermer en mars prochain, laissant 63 personnes sur le carreau, les propositions du personnel pour sauver le site ont été balayées.
Le groupe de presse zurichois poursuit sa restructuration au rouleau compresseur. Les rédactions romandes ont débrayé pour protester contre les nombreux licenciements annoncés.
Pour protester contre la restructuration radicale annoncée dernièrement par l’éditeur zurichois, des actions ont eu lieu à Genève et à Lausanne.
Pour protester contre la restructuration radicale annoncée dernièrement par l’éditeur zurichois Tamedia, des débrayages ont eu lieu à Genève et à Lausanne le jeudi 12 septembre. Des représentants de plusieurs syndicats – dont Arnaud Bouverat, secrétaire régional d’Unia Vaud – sont venus apporter leur soutien aux employés romands, les appelant à lutter collectivement et solidairement contre cette restructuration.
L’éditeur zurichois, qui possède notamment en Suisse romande «24 Heures», la «Tribune de Genève» et le «Matin Dimanche», annonce la suppression de 290 postes dans tout le pays, et la fermeture de ses imprimeries de Bussigny et Zurich.
Un an après l’annonce de la restructuration d’Alstom à Villeneuve, l’avenir du site est encore incertain et les suppressions de postes toujours en cours. Les syndicats appellent à agir
Le plan de restructuration du géant de la pharmaceutique bâlois touchera 10% des effectifs. Tous les sites du pays et domaines d’activités sont concernés. Choqué, Unia demande une véritable consultation des employés débutant après la pause estivale
Tamedia a annoncé une nouvelle restructuration de son Centre d’impression de Bussigny, qui imprime notamment les quotidiens Le Temps et 24 heures. La communication a été faite aux...
A la suite de l’intervention d’Unia, la direction de l’entreprise genevoise s’est mise aux normes. Elle planche également sur des solutions de reclassement des employés à l’interne
Une entreprise active dans le second œuvre à Meyrin a licencié cinq de ses neuf employés. Certains ont plus de 50 ans. Les motifs économiques évoqués ne semblent pas tenir la route, tant le nombre de commandes est élevé. Soutenus par Unia, les travailleurs craignent une volonté de sous-traiter les travaux. Une réponse à leurs doléances devrait leur parvenir cette semaine
Swiss annonce une restructuration
Pas de parachute pour l’équipage
La menace planait. Swiss a finalement annoncé jeudi dernier ouvrir une procédure de consultation pour licenciement collectif. D’ici à la fin de l’année, la direction de la...
Dans un communiqué de presse du 27 octobre, le groupe de construction Implenia a annoncé vouloir procéder à la restructuration de ses activités, et donc à des licenciements massifs...
Epsilon, filiale de La Poste, a annoncé une restructuration qui toucherait environ 200 employés à Genève et à Lausanne. Ces derniers exigent que leur employeur fasse marche arrière
A la suite de la restructuration envisagée par Philip Morris, Unia a organisé la semaine passée deux assemblées du personnel – l’une en français, l’autre en anglais – dans les...
Philip Morris envisage de supprimer 265 postes de travail. Première phase d’une restructuration qui sera encore suivie d’une autre baisse des effectifs. Unia a contacté les employés
Pour Unia, la vague de licenciements perlés depuis quelques mois dans l’entreprise pharmaceutique genevoise est une façon d’échapper à ses obligations légales. Le personnel licencié veut un vrai plan social