Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

«Vivre pour travailler ou travailler pour vivre?»

La Jeunesse socialiste suisse lance une Alliance pour la réduction du temps de travail. Dans un communiqué diffusé quelques jours après la grève des femmes, elle souligne ne plus vouloir d’une économie qui ne profite qu’à une petite élite. Le parti rappelle que la productivité augmente, que les machines remplacent le personnel, mais que les profits ne sont pas répartis. De surcroît, se fondant sur diverses études, il relève que le travail non rémunéré des soins, majoritairement effectué par des femmes, représente 242 milliards de francs, soit un tiers du PIB. Et de renchérir: «Nous ne voulons plus nous mettre au service d’une économie dans laquelle les activités qui maintiennent la cohésion de notre société au cœur de celle-ci – élever les enfants, soigner les malades et les personnes âgées, cultiver l’amitié – n’ont aucune valeur. Nous ne voulons plus nous mettre au service d’une économie qui détruit notre planète. C’est pourquoi nous voulons enfin travailler pour vivre, au lieu de vivre pour travailler, et défendre une réduction du temps de travail à salaire constant. Pour un avenir pour les 99%, féministe et écologique.»

Pour aller plus loin

La Grève du climat se positionne contre la Loi sur le CO2

Les jeunes militants écologistes vaudois dénoncent une loi insuffisante, inefficace et punitive pour les personnes précaires

Dépôt du référendum «Stop huile de palme»

Le peuple sera appelé à trancher sur le sort de l’accord de libre-échange signé avec l’Indonésie. Le 22 juin dernier, le comité référendaire «Stop huile de palme» a remis quelque...

Le peuple aura le dernier mot

Vue sur la ville et les mines.

Après trois ans de débats au Parlement, l’initiative pour des multinationales responsables sera soumise à votation

Gare aux primes maladie payées à double

Le Parti socialiste lausannois a déposé un postulat demandant une amélioration de l’information relative aux primes maladies pour les recrues et les civilistes